des Aspects
Imprévus dans l'Art Dogon L'art du peuple Dogon vu dans son contexte religieux d'origine. auteur Marchinus Hofkamp A4, livre à couverture souple, 115 pages, 300 photographies Prix 2023 : € 20, - plus frais d'expédition Fasciné par leur culture et leur art, l'écrivain a visité à plusieurs reprises le peuple Dogon. Au cours de vingt-cinq ans, de nombreuses randonnées l'ont conduit à travers des centaines de villages, répartis sur une superficie de la taille des Pays-Bas. Et tout comme dans les Pays-Bas relativement petits, il y avait aussi des différences régionales ou même locales dans le dialecte, l'architecture, la religion et les expressions artistiques. Nos relations habituelles avec ces ethnographiques semblent être basées sur une image plutôt simpliste de «l'art dogon», qui ne rend pas justice à la riche diversité artistique de cette culture. L'écrivain a souvent été surpris par cela, par exemple aussi par l'image sur la couverture, originaire de la région peu connue de Pinari. Dans cette image, l'un des sculpteurs inspirés par l'art africain peut être reconnu comme Modigliani. "Formes inhabituelles" est donc un des trente chapitres de ce livre. |
Explication par l'auteur
Beaucoup des objets d’art Africaine sont magnifique, mais en Afrique ce sont surtout les histoires des objets qui sont importantes.
Après travaillé pendant deux ans (1975) comme médecin tropical au Congo (Kinshasa), je retournais encore en Afrique dès 1985 – mais maintenant dans une région qu’on pouvait voyager plus facile. C’était surtout le Pays Dogon au Mali, ou j’ai fait des randonnées itinérantes de village au village pendant trois ou quatre semaines chaque an. On est chauffé par le soleil, par un paysage merveilleux et par l’hospitalité des Dogons. Mais aussi par leurs coutumes, ses expressions artistiques et les histoires qui relient tout cela. Encore dans notre temps beaucoup de cet art disparaît, surtout par l’Islamisation qui change drastique les coutumes. Des masques et des statuettes quittent le pays par voie commerciale locale, ensemble avec beaucoup de copies, parce que cela se paye bien.
Des objets ethnographiques peuvent être beaux soi-même, mais sans l'histoire associée ils deviennent un peu déplacés. "La beauté orpheline" alors, c’est dommage. Dans ce contexte, ce serait évident pour moi que le point capital dans ce livre ne devrait pas être la ‘beauté de l'art’, bien qu'il y ait assez de beauté à apprécier dans ce livre. Outre d’un coup d'œil au Pays Dogon et aux coutumes locaux, on trouve dans ce livre des statuettes, des masques, et surtout des mythes et histoires qui m’ont surpris. Beaucoup des aspects imprévus, qu’on ne trouve pas dans les livres d’art du peuple Dogon, ou seulement peu. Outre d’une diversité remarquable de formes, où la ‘beauté’ de l'objet en effet se pose centrale, une série d'aspects liés à la religion et aux coutumes dépassent.
Le savoir que toutes sortes d’objets sont animés à une place centrale dans ces coutumes. Je peux mentionner quelques de ces aspects : la fonction des statuettes – le visage caché – des statuettes aux clous – sexe double – transformation – statuettes animales – statuettes de l’oracle. J’aime á vous faire partager á cet art expressif et aux histoires qui se cachent au fond. Ces histoires locales me répondaient beaucoup de mes questions, mais ils causaient aussi des questions nouvelles, á côté des questions qui restaient sans réponse. Parce que c’est comme chez chaque exploration, les réponses éveillent encore des questions nouvelles.
L’art, et surtout l’art ethnographique reste intrigant. On peut commander le livre par remplir ce formulaire de contact.
La texte au-dessus n'a pas subi le regard critique et le commentaire de notre traductrice Française du livre - cette vieille amie a décédé malheureusement, par cause d'âge. Si vous remarquez des fautes dans cette texte, svp m'informez.
Beaucoup des objets d’art Africaine sont magnifique, mais en Afrique ce sont surtout les histoires des objets qui sont importantes.
Après travaillé pendant deux ans (1975) comme médecin tropical au Congo (Kinshasa), je retournais encore en Afrique dès 1985 – mais maintenant dans une région qu’on pouvait voyager plus facile. C’était surtout le Pays Dogon au Mali, ou j’ai fait des randonnées itinérantes de village au village pendant trois ou quatre semaines chaque an. On est chauffé par le soleil, par un paysage merveilleux et par l’hospitalité des Dogons. Mais aussi par leurs coutumes, ses expressions artistiques et les histoires qui relient tout cela. Encore dans notre temps beaucoup de cet art disparaît, surtout par l’Islamisation qui change drastique les coutumes. Des masques et des statuettes quittent le pays par voie commerciale locale, ensemble avec beaucoup de copies, parce que cela se paye bien.
Des objets ethnographiques peuvent être beaux soi-même, mais sans l'histoire associée ils deviennent un peu déplacés. "La beauté orpheline" alors, c’est dommage. Dans ce contexte, ce serait évident pour moi que le point capital dans ce livre ne devrait pas être la ‘beauté de l'art’, bien qu'il y ait assez de beauté à apprécier dans ce livre. Outre d’un coup d'œil au Pays Dogon et aux coutumes locaux, on trouve dans ce livre des statuettes, des masques, et surtout des mythes et histoires qui m’ont surpris. Beaucoup des aspects imprévus, qu’on ne trouve pas dans les livres d’art du peuple Dogon, ou seulement peu. Outre d’une diversité remarquable de formes, où la ‘beauté’ de l'objet en effet se pose centrale, une série d'aspects liés à la religion et aux coutumes dépassent.
Le savoir que toutes sortes d’objets sont animés à une place centrale dans ces coutumes. Je peux mentionner quelques de ces aspects : la fonction des statuettes – le visage caché – des statuettes aux clous – sexe double – transformation – statuettes animales – statuettes de l’oracle. J’aime á vous faire partager á cet art expressif et aux histoires qui se cachent au fond. Ces histoires locales me répondaient beaucoup de mes questions, mais ils causaient aussi des questions nouvelles, á côté des questions qui restaient sans réponse. Parce que c’est comme chez chaque exploration, les réponses éveillent encore des questions nouvelles.
L’art, et surtout l’art ethnographique reste intrigant. On peut commander le livre par remplir ce formulaire de contact.
La texte au-dessus n'a pas subi le regard critique et le commentaire de notre traductrice Française du livre - cette vieille amie a décédé malheureusement, par cause d'âge. Si vous remarquez des fautes dans cette texte, svp m'informez.